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Depuis des millénaires, nos religions utilisent un livre particulier, un manuel religieux de référence.
Ce fut la Bible, les Evangiles, le Coran, les Védas et autres livres saints.
Ces
ouvrages servirent à de nombreux fidèles, de tuteurs spirituels dans leurs vies quotidiennes.
Mais là encore, certains écrits furent soit manipulés pour des raisons politico-religieuses, afin d'asseoir une suprématie, soit dénaturés de leurs messages originels par manque de compréhension
profonde.
Et ainsi, nous avons aujourd'hui un monde divisé entre des ethnies qui chacune croient que seul leur livre est saint et qu'il est le seul véhicule de la parole divine. " (Source : Michael)
Réponse :
Comment peut-on savoir si la Bible est d'origine divine ?
Seuls, les Ecrits Bibliques -non apocryphes- contiennent "Les Valeurs Numériques".
Aucun autre livre ne les possède.
Aucun humain n'est capable d'écrire un tel livre !
Les Livres Bibliques ont été écrits à différentes époques, par des hommes certes, mais sous inspiration divine.
Les Valeurs Numériques qu'ils contiennent en sont une preuve.
On y trouve également le "Nombre d'or".
-- > voir rubrique Valeurs
Numériques
et Nombre d'or dans les thèmes d'introduction
Les textes apocryphes, c’est-à-dire dont l’authenticité n’est pas établie,
ne possèdent pas les Valeurs Numériques
Les Valeurs Numériques se constatent uniquement dans les textes originaux
Textes Hébreux pour l'Ancien Testament - Textes Grecs pour le Nouveau Testament.
Aujourd'hui ces découvertes ont été confirmées et développées par ordinateur.
On peut donc dire que tous les Ecrits Bibliques -non apocryphes- sont d'inspiration divine et sont le véhicule de la Parole Divine révélée aux hommes. Ce qui exclut tout mensonge et toute erreur.
Les Ecrits Bibliques -non apocryphes- sont fiables et dignes de confiance.
Reste à chacun de trouver les meilleures traductions, celles qui sont le plus fidèles aux textes originaux. (J'utilise les versions Darby et Segond).
Les Textes Apocryphes
Les apocryphes n’apportent rien de nouveau, rien de spirituel et rien de fiable, comparés aux écrits denses et profonds du Nouveau Testament.
De plus, étant des mensonges pieux (ils sont faussement attribués à des apôtres ou des témoins oculaires de la vie de Jésus alors qu’ils datent au minimum du IIe siècle), ils ne sont pas dignes d’entrer dans le canon du Nouveau Testament.
Les Evangiles dits apocryphes se démarquent des textes apostoliques sur plusieurs points :
- ils répondent à la curiosité humaine en inventant les histoires que les Evangiles n’ont pas
traitées (l’enfance de Jésus, par exemple, qui contient des histoires peu crédibles)
- ils contiennent des notions théologiques tardives (comme le titre de Mère de Dieu, theotokos
dans le protévangile de Jacques, titre datant du concile d’Ephèse au 5e siècle).
- ils contiennent des notions contraires au Nouveau Testament
- ils sont tous pseudépigraphiques, c’est-à-dire faussement attribués à un auteur connu
Origine des textes apocryphes
Un certain nombre de lettres et d’Evangile pseudépigraphiques (empruntant le nom de quelqu’un d’autre)
circulaient dans les églises en même temps que les écrits des apôtres. Mais la plupart des Evangiles
apocryphes étaient en copte et avait cours en Egypte parmi des groupes gnostiques.
Au IIe siècle, les églises commencèrent à écarter ce qu’elles n’acceptaient pas comme vraiment apostolique.
C’est justement à cette époque que les gnostiques fleurirent parmi les chrétiens et obligèrent les églises
à se positionner sur certains points de doctrine ainsi que sur le canon des Ecritures.
Article de l’Encyclopedia Britannica (Titre : Apocrypha) : « Tous les apocryphes du Nouveau Testament
sont pseudépigraphes… Les mouvements hérétiques gnostiques et montanistes ont produit un
grand nombre de pseudépigraphes du Nouveau Testament.
L’apparition de ces nombreux écrits a provoqué le processus de canonisation des livres saints au sein
de la jeune église chrétienne. »
Définition des apocryphes
Le terme apocryphe signifie "secret" en grec (apokruphos). Il est employé principalement par les gnostiques qui basaient leurs croyances et leurs pratiques sur l’occulte, l’ésotérique, les mystères. Pour eux, la connaissance salvatrice passait par des secrets révélés par des éons, des esprits angéliques, voire des dieux.
On trouve au IIe siècle, par exemple, le Livre Secret de Jean qui explique la mythologie gnostique sous la forme d’une révélation de Jésus ressuscité, à l’apôtre Jean.
Les évangiles apocryphes sont des textes qui copient et modifient les Evangiles apostoliques, comme
l’Evangile selon Marcion (un croyant semi-gnostique du IIe siècle) par ex., qui modifie l’Evangile selon Luc.
Les évangiles apocryphes ressemblent aussi aux Targums juifs (développement libre du texte biblique)
quand ils proviennent de groupes nazaréens comme les Ebionites.
Les Actes apocryphes, loin d’atteindre le degré de précision historique du livre de Luc, étaient des récits
épiques et romancés destinés à enthousiasmer le lecteur populaire.
Nombreux textes dans les 7 premiers siècles au sujet de Jésus.
Les apocryphes du Nouveau Testament imitent le style du Nouveau Testament et se regroupent sous
4 formes : les Evangiles, les Actes, les Epitres et les Apocalypses.
22 Evangiles apocryphes du IIe siècle (12 en latin et 10 en grec)
15 Actes
10 Epitres
6 Apocalypses
Trois thèmes prédominent : 1) histoire de Marie et Joseph 2) enfance de Jésus 3) histoire de Pilate
37 manuscrits et 5 fragments en langue copte (tirés probablement d’originaux grecs) ont été découverts en 1946 à Nag Hammadi (près de Louxor, Egypte)
Aucun n’est daté avant le IIe siècle.
Les textes apocryphes, c’est-à-dire dont l’authenticité n’est pas établie,
ne possèdent pas les Valeurs Numériques
On a appelé Apocryphes, c'est à dire, cachés, douteux, ces livres dont les Juifs
ont toujours nié l'inspiration et qui se trouvent actuellement dans certaines versions de la Bible. Quoique compris sous un même nom ils n'ont presque rien de commun entre eux.
Au 3ème siècle avant notre ère la langue grecque était la plus répandue. Ptolémée Philadelphe, pour garnir son impressionnante bibliothèque, demanda la traduction des écrits religieux juifs.
C'est ainsi qu'apparut la "Septante", traduction grecque des écrits inspirés juifs, auxquels furent ajoutés diverses narrations profanes.
Le Nouveau Testament, écrit en grec, se réfère souvent aux écrits de l'Ancien Testament et cite celui-ci dans la traduction grecque de la "Septante", mais jamais les "apocryphes" ne sont cités ni
par notre Seigneur Jésus Christ, ni par aucun des auteurs inspirés.
Les fausses doctrines et les contradictions contenues dans les livres apocryphes
prouvent à l'évidence que ces livres ne peuvent être le langage de l'Esprit de vérité : savoir la Parole même de Dieu.
Certaines versions de Bible possèdent des textes apocryphes.
(Source : Michael)