_ Foi  et  Partage _

 

 

 « Vous me chercherez et vous me trouverez si vous me cherchez de tout votre cœur »

Jérémie 29 : 13

 

 

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Ecrits d'Ellen G White

La Victoire par le Christ

  Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, lui aussi, d’une manière semblable y a participé, afin d’écraser par sa mort celui qui détenait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable, et de délivrer tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans l’esclavage. Hébreux 2:14, 15

La chute de l’homme plongea le ciel dans le chagrin et le cœur de Jésus fut ému d’une compassion infinie pour ce monde perdu, cette race anéantie. Il contempla le péché et la misère des hommes et comprit qu’ils ne possédaient pas le pouvoir de vaincre par eux-mêmes l’ennemi à la puissance en éveil.
Avec une miséricorde et un amour divins, il vint sur la terre pour combattre nos combats, car lui seul pouvait vaincre l’adversaire. Il vint pour réconcilier les hommes avec Dieu, infuser de son énergie divine dans leurs âmes repentantes et, de la crèche au calvaire, fouler le même chemin qu’eux, leur offrant à chaque pas l’exemple même de ce qu’il fallait faire. Il leur montra quel caractère serait le leur s’ils s’unissaient à Dieu.

Or de nombreuses personnes ont dit que Jésus était différent de nous, qu’il n’était pas dans le monde comme nous, qu’il était divin et qu’en conséquence, nous ne pouvons vaincre comme lui. Mais ce n’est pas vrai: “Car ce n’est pas à des anges, assurément, qu’il vient en aide, mais c’est à la descendance d’Abraham qu’il vient en aide. [...]
Car du fait qu’il a souffert lui-même quand il fut tenté, il peut secourir ceux qui sont tentés.” Hébreux 2:16, 18.

 

Le Christ connaît les épreuves des pécheurs; il connaît leurs tentations. Il a endossé notre nature; il a été tenté exactement comme nous le sommes. Il a pleuré, il connaissait le chagrin; c’était un homme habitué à la souffrance.
Revêtu de nature humaine, il a vécu sur la terre, il est monté au ciel, il est notre substitut. Il a vécu pour intercéder en notre faveur. Il reviendra avec une puissance et une gloire royales pour accueillir ceux qui l’aiment et pour qui il prépare actuellement une place.


Réjouissons-nous et louons Dieu, “parce qu’il a fixé un jour où il va juger le monde selon la justice, par un homme qu’il a désigné”.  Actes 17:31

 

 

 

 

Grandeur  et Beauté  du  Pardon

 

 

 

    Le caillou  dans  le soulier

 

 

 « On ne peut marcher en regardant les étoiles quand on a une pierre dans le soulier »

 

      Pensée du chanteur canadien Félix Leclerc

 

 

 

    Source           i c i

 

 

 

 

  C’est vrai qu’il y a plusieurs degrés de souffrance, mais la seule guérison est dans le pardon de l’offense.
Il est aisé de pardonner et se faire pardonner des petites choses, des petites incompréhensions, mais parfois nous sommes confrontés à des plaies, semble-t-il, inguérissables.

 


Ainsi, j’ai souvenance d’une amie, victime dans son jeune âge d’un inceste de son frère aîné.
Le conflit intérieur entre l’amour familial et l’agression dont elle fut victime plusieurs années durant a engendré chez elle une perturbation psychique et physique.

 

A ceci s’est rajoutée la culpabilité du scandale familial qu’elle a ressentie, elle, la victime. Mais du côté de l’agresseur ce ne fut pas mieux. Il sombra dans l’alcoolisme et finit par se suicider.
La majorité de nos conflits sont, avouons-le, mineurs. Disputes familiales, parents possessifs, conflits d’héritages, rivalités professionnelles etc.

 


Si nous traînons des sentiments de culpabilité ou d’offense quels qu’en soient les degrés, même si tout retour à la situation antérieure est impossible, et cela se comprend parfois très bien, la paix de l’âme et du corps ne peut passer que par le pardon.
Même s’il n’est pas formulé par le coupable, il est, pour la survie de la victime, vital que l’esprit du pardon soit vivant.

 

 

Un sage disait  « celui qui ressasse sa vengeance entretient sa souffrance ».

 

 
Mais il y a plus grave que les petites querelles domestiques.

 
La théorie du pardon est la seule que je connaisse pour se libérer de l’humiliation d’avoir été lésé dans quelque domaine que ce soit. Mais j’avoue ne pas savoir comment font les parents à qui on a enlevé, torturé et tué un enfant, pour survivre à cette horreur.

 
L’homme est capable d’actes inhumains et dans ces cas-là la théorie du pardon est inimaginable. Pourtant elle existe.

 

Face aux actes inhumains il y a le surhumain.

 
Ce n’est qu’en faisant appel à une puissance surhumaine, divine, que la paix dans l’âme de la victime se fera.

 

Bien sûr, c’est de la théorie tout ça, mais en existe-il une autre pour apaiser la souffrance ?

 

 
Dans un camp d’extermination, une jeune fille juive dut subir, pour sa survie durant 4 ans, d’être le jouet d’un officier.

 

A sa libération, elle émigra aux États-Unis.

 

Dans les années 80 alors qu’elle s’était convertie au christianisme, elle se trouva, dans son église, devant son bourreau qui bien sûr, la reconnut aussi. Je ne sais pas ce que l’un ou l’autre a ressenti sur le moment, ni ce qu’ils se sont dit, mais l’histoire rapporte, et elle est authentique, qu’elle avait pardonné et que ce vieux monsieur devant elle, avait aussi fait le chemin de la conversion.

 

 
  La théorie du pardon nécessite une force extraordinaire, surhumaine, qui peut être donnée à celui qui en a besoin et seulement au moment où il en a besoin.

 

Ceci est la seule explication que nous puissions trouver à ceux qui pardonnent l'impardonnable.

 

 

 

  Il se passe des choses extraordinaires dans le cœur des hommes pour celui qui voit dans le pire d’entre eux, une créature divine.

 

 "Père pardonne leur, car ils ne savent ce qu’ils font"  disait la plus célèbre victime de la plus grande erreur judiciaire de tous les temps.